Dans La Ferme De L’Etalon

Je n’ai toujours pas compris ce qui pouvait pousser l’être humain à accomplir des actes extraordinaires, mais chose certaine, c’est parfois difficile d’y résister. Je suis ce qu’on pourrait appeler (la blonde poupée). Non pas que je n’aie pas de cervelle, bien au contraire, j’ai la chance d’appartenir à l’élite côté scolaire. Côté sexe, ce n’était pas fort ! Je n’étais pas porté sur la chose, mais un événement a tout basculé dans ma vie.
Je venais à peine d’avoir dix-huit ans et c’était la fin des classes. Ma grande sœur qui avait épousée un plein aux as m’avait fait un cadeau remarquable ce jour là. Elle me refilait sa décapotable vieille de six ans à peine, prétextant qu’elle venait de s’en payer une neuve. Dix huit ans, une voiture, alors il me restait qu’a me balader.

Par une belle journée ensoleillée, vêtue d’un short moulant et d’un chemisier attaché au nombril, je partais à l’aventure. Sept heures de route m’attendaient pour rendre visite à l’une des tantes. J’étais partie tôt, roulant tranquillement pour voir tout le paysage. Cinq heures plus tard alors que je passais devant des fermes, ma voiture commençait à faire des ratés. Je n’avais aucune connaissance en mécanique, alors c’était pour moi la catastrophe totale quand la voiture s’arrêta net. J’accosta en bordure de la route et me voyais désemparé. Heureusement, j’étais arrêté devant une ferme.
Je descendit de voiture et commença marcher à vers la grande maison quand je réalisais la façon dont j’étais vêtue. Ces fermiers pourraient carrément me prendre pour une prostituée ! Tant pis ! Je devais téléphoner.

En arrivant près de la porte d’entré, je me retint de frapper en entendant de petits rires d’une femme, provenant de l’intérieur. Les rires se poursuivaient, mais je n’avais pas le choix. Les rires cessèrent quand je frappa à la porte. J’attendis un moment, puis une jeune femme aux longs cheveux noirs arriva. Elle ouvrit la porte et J’eus la surprise de voir qu’elle était en maillot de bain.

Cela me mit à l’aise un peu par rapport à mon habillement, mais ce qui m’étonnait le plus, c’était la taille de ses seins qui débordaient carrément de son maillot deux pièces. J’avais jamais vu une telle poitrine et je ne sais pourquoi, mais cela me fit un effet étrange en moi. J’étais excité ! Pour la première fois de ma vie je me sentais excité et c’était par une femme.
Je ne me souvenais même plus pourquoi j’étais là. J’avais les yeux rivés sur cette poitrine volumineuse et je ne savais plus quoi dire jusqu’à ce qu’elle me demande ce qu’elle pouvait faire pour moi.

« Téléphoner ! Dis-je enfin. Je pourrais vous emprunter votre téléphone ?

Elle me fit un beau sourire, puis me fit entrer. Elle m’indiqua le téléphone accroché à un mur de la cuisine et je m’y dirigea. En prenant le combiné je me tourna vers elle pour qu’elle m’indique le numéro d’un garage, mais voilà qu’elle s’éloignait dans un couloir. Elle croisa un homme dans le couloir et lui donna une tape sur les fesses. Alors qu’elle venait de disparaître c’était ce mâle qui arriva dans la cuisine. Quand je dis un mâle, c’en était tout un ! Il devait faire les six pieds deux pouces, torse nu tout de muscles et ne portant qu’un jeans pas attaché. Il jeta un bref coup d’œil en ma direction, puis se dirigea vers le frigo où il se prit une pinte de lait, buvant à même la pinte. Le combiné collé à mon oreille je le fixais sans arrêt, alors que le lait débordait de sa bouche coulant de chaque côté de sa bouche et ruisselant sur son corps d’apollon. Déjà, la femme m’avait excité que là je sentais mon entre jambe complètement trempé. Il me fixa droit dans les yeux, puis baissa les yeux sur mon entre jambe. J’étais un peu mal à l’aise de croire qu’il me voyait mouiller. Il reprit une gorgée de lait et encore une fois le tout déborda. Cette fois le ruissellement du liquide blanc se rendit jusqu’à l’intérieur de son pantalon. Je pouvais voir la forme se dessiner dans son jeans.
Je raccrocha le téléphone et j’allais pour partir.
Je n’en pouvais plus, j’étais trop excité et sans contrôle pour rester une minute de plus. Mais en passant près de lui, il posa sa main puissante sur mon ventre et me fixait droit dans les yeux. Mes jambes tremblaient, ce qui l’amusa. Il descendit sa main sur mon sexe et par ce simple geste je lançais un gémissement de jouissance.

Il devint alors comme une bête, m’arracha mon chemisier de sur le dos comme si de rien n’était. Il me souleva de terre avec ses mains puissantes sur ma taille et je sentit vite sa bouche chaude sur mon sein. Mes pieds ne touchaient plus le sol, j’avais carrément perdu le contrôle des événements et je ne savais plus comment réagir. Je me retrouva vite coucher dos sur la table, sans mon short qu’il m’avait retiré sans même que je me souvienne quand il l’avait fait. Sa bouche gourmande était maintenant entre mes jambes, promenant sa langue dans mon vagin. Je n’arrivais même plus à faire le compte de mes orgasmes, tellement cet homme me faisait de l’effet.
Puis Soudainement, il sortit son gigantesque membre en érection et le glissa dans mon vagin humide. Pour la première fois je me faisais pénétrer et cela avec une vigueur incroyable. Sans même réfléchir, ni tenir compte de la femme qui m’avait ouvert la porte je criais ma jouissance. J’atteignit alors un super orgasme au même instant qu’il éjaculait en moi.

Rapidement, je pris mes affaires sur le plancher de la cuisine et sortit de la maison en courant. Complètement nue, je me rendit à la voiture et m’y habilla. J’attendais la remorqueuse en essayant de réfléchir à ce qui venait de se passer. Je n’ai attendu que dix minutes avant qu’un mécanicien règle mon problème mineur. Suite a ça je suis reparti en me demandant s’il c’était disputé avec sa femme ou non? Je ne connaissais rien d’eux, mais chose certaine, j’y ai perdu ma virginité de façon incroyable.
Aujourd’hui, cinq ans ont passé et il n’y a pas un soir ou je ne me masturbe pas en passant à ce jour. Et jamais je n’ai ressenti de nouveau une telle sensation.

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